Kirikou sur papier glacé
Il y a pire métier que celui de journaliste spécialisé !
Naviguer, raconter ses plaisirs, partager sa passion et ses découvertes avec les lecteurs…
Il est des professions plus contraignantes !
Ce métier je l’exerce à bord de bateaux d’eau douce, de péniches, de bateaux fluviaux. Parfois, bien sûr, l’eau des rivières et canaux manque de sel, les écluses barrent l’horizon et leur parfum a plus le goût de vase que celui de l’iode.
Une carence palliée par Kirikou, mon Figaro 5, avec lequel je navigue chaque fois que possible.
J’ai fait à plusieurs reprises le récit de sa rénovation sur le blog, et une autre version vient de paraitre dans les pages de la revue Fluvial.
La plaisance change et revient à des bateaux à taille humaine et au coût en adéquation avec l’usage que l’on en fait. C’est le but que je poursuis en diffusant une nouvelle version de ce récit : dire que l’on peut faire beaucoup à partir de peu, et surtout que l’on peut faire soi-même un bateau enthousiasmant à partir de panneaux de contreplaqué ou d’une coque délaissée.
Une incitation à tenter l’aventure, que l’on peut trouver dans les pages du Fluvial n°289 (février)
actuellement en kiosque.
Bonjour,
Pouvez vous me contacter....je suis sur une rénovation du N° 699
Antoine
Tel : O631744988