Bonjour,

je voulais juste témoigner de la toute petite "astuce" que j'ai installé sur nôtre Figaro 6 afin d'étouffer rapidement le génois pour arriver moins vite au ponton ou sur la bouée sans aller sur le pont.

(Surtout lorsque le vent de travers ne demande qu'à faire accélérer le bateau contre l'avis de son équipage ;-)

(je prends la bouée par l'arrière, c'est plus facile -moins de franc-bord- et j'ai tout ce qu'il faut à portée de main)

Un bout' de faible diamètre fixé par un noeud de chaise au mousqueton de génois, qui est endraillé par tous les mousquetons de Génois avant de le hisser, qui passe par une poulie fixée à la cadène d'étai et revient au cockpit vers un bloqueur, par l'intermédiaire de deux petits guides pour éviter le panneau ouvrant et la main courante avant.

Illustration en images:

Si le bout de la "contre-drisse est passé "simplement" dans les mousquetons du génois, c'est à dire sans noeuds, ni coincements, ce système tout simple fonctionne parfaitement et le génois est baissé très rapidement.

L'inconvénient peut être que par vent de travers une partie du génois peut tremper dans l'eau, ce qui est un moindre mal par "atterrissage" un peu rapide. Cela pose moins de soucis avec le foc qui a moins d'ampleur et trempera moins facilement dans l'eau au vu du franc-bord à l'étrave de nos Figaro 6.

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Je fais suivre le commentaire avisé d'Alain;

Suite ton post sur l'affalage du génois;

Pour guider le génois lors de son affalage, et éviter qu'il ne chalute, deux suggestions :

1- installer un transfilage entre la filière et le pont du bateau (faire des "V", avec de la garcette)

=> j'avais trouvé le système efficace

2- lors de l'affalage, border la voile à fond, pour éviter que le point d'écoute ne "quitte" le bord

En déployant ces deux astuces, le problème devrait s'estomper